Guide de survie à l’attention des jeunes parents

Guide de survie à l’attention des jeunes parents

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Guide pour les jeunes parents

Approche bienveillante, rituels apaisants, attitude respectueuse de l’environnement valent mieux que mesures de rétorsion et ultra consommation. Croyez-nous ; il existe des solutions positives pour vous aider à passer le cap parfois difficile de la petite enfance.

Des blogs et des forums à foison, une multitude d’ouvrages en librairie, des vidéos de conseils aux parents sur le web, des ateliers, des conférences… L’éducation positive (1) et la parentalité bienveillante entraîne un réel engouement dans l’hexagone. Venu d’Outre-Atlantique, le concept d’éducation positive s’appuie sur les neurosciences et, dans la lignée de célèbres pédagogues (Montessori, Freinet…), il prône l’écoute des besoins de l’enfant et de ses sentiments. Avec elle, plus question de fessées ou de menaces ; on favorise l’autonomie, la coopération…

Des principes dans lesquels nombre de parents se retrouvent.
« Notamment parce qu’ils ne veulent pas reproduire l’éducation qu’ils ont reçue et dont ils ne gardent pas forcément un bon souvenir », souligne Charlotte Ducharme, auteur de Cool parents make happy kids*.

« Si le tout petit enfant a des ressources innées, il ne peut se développer seul. C’est la qualité de la dynamique d’interaction avec son entourage qui va lui permettre, ou non, de déployer toutes ses capacités au cours de son développement. Pour ce faire, la position éducative des adultes prenant soin de lui est fondamentale » explique Sylvie Beaudic, psychomotricienne et psychothérapeute.

Et Nicolas Marquis, professeur de sociologie à l’université Saint-Louis de Bruxelles d’ajouter :

« On considère de plus en plus l’enfant comme un adulte en devenir. Il est désormais affublé de tout un tas de besoins dont on ne se préoccupait pas trop avant. Si hier on pouvait lui imposer des décisions en scandant « parce que c’est comme ça », aujourd’hui nombre de parents co-construisent son éducation avec lui. Les rituels tiennent une place importante dans cette démarche.
L’heure du coucher est synonyme d’enfer pour bien des parents et souvent, on finit par s’exaspérer et perdre patience. Quant à l’enfant, qui réclame des histoires, un verre d’eau ou un énième câlin pour retarder le moment de se mettre au lit, il est tout simplement victime du syndrome de rappel. Quelle réaction adopter ? Suivons les conseils de mpedia.fr

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Rituel pour le coucher

 

  • Il est essentiel d’instaurer un rituel.  En répétant les mêmes gestes tous les soirs, vous créez une ambiance apaisante et confiante avec votre bébé.
  • Débutez ce rituel d’actions répétées quotidiennement dès la salle de bains avec le bain, puis le pyjama avant d’installer votre bébé dans son lit.
  • Fermez les rideaux ou les volets, installez-le confortablement.
    Veillez à ce qu’il vive un moment calme et paisible avant le coucher : éviter les jeux excitants, les chatouilles, les lancers de ballon ou d’oreillers…
  • Votre voix est importante, elle est bien connue de votre enfant. Parlez-lui, fredonnez une berceuse ou chantez une chanson, racontez une histoire (même si le contenu n’est pas saisi, la musicalité de la langue est opérante). Au fur et à mesure que votre enfant grandit, vous pourrez lire une histoire avec lui, avant de le laisser lire tout seul.
  • N’attendez pas que votre enfant soit endormi pour le mettre dans son lit. Il est très important qu’il apprenne à s’endormir dans son lit, ainsi il aura moins de mal à trouver le sommeil tout seul. Quittez la chambre avant qu’il soit endormi, afin qu’il apprenne à faire la transition vers la nuit.
  • Rassurez votre enfant en lui montrant que vous n’êtes pas loin, que vous pouvez revenir le voir s’il pleure, ou s’il se sent mal. Il peut être rassurant pour votre bébé de faire le tour des « bonnes nuits », en l’emmenant voir les différents membres de la famille. Il comprendra ainsi que la nuit est une séparation, qui sera suivie de retrouvailles !
  • Ne faites pas trop durer le rituel, au risque de gêner l’endormissement de votre bébé.
  • Enfin, n’hésitez pas à imaginer vos habitudes et vos instants de douceur avec votre bébé. Ils sont privilégiés. C’est un moment précieux pour vous également, pour être en harmonie avec votre enfant.

 

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Enfant serein

Dans son livre  » Un enfant serein  » , Gilles Diederichs nous distille de précieux conseils pour aider notre enfant à être positif, détendu et apaisé. Le livre au format 8,5X12 cm se glisse aisément dans un sac ou une poche. Cela permet de le feuilleter quand bon nous semble ou en cas de force majeure !

  • Le Conseil de l’Europe, qui en fait la promotion, en donne cette définition : « La parentalité positive renvoie à un comportement parental qui respecte l’intérêt supérieur de l’enfant et ses droits, comme l’énonce la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant qui prend aussi en compte les besoins et les ressources des parents. Les parents qui agissent ainsi veillent au bien- être de l’enfant, favorisent son autonomie, le guident et le reconnaissent comme un individu à part entière. La parentalité positive n’est pas une parentalité permissive : elle fixe les limites dont l’enfant a besoin, de manière à l’aider à s’épanouir pleinement. La parentalité positive respecte les droits de l’enfant et favorise l’éducation dans un milieu non violent. »

 

Pédagogie Montessori : on commence quand ?

Certains la jugent trop permissive, d’autres débonnaires mais qu’est-ce au juste que la pédagogie Montessori ?
Favoriser la confiance en soi, l’autonomie, tout en permettant à l’enfant d’évoluer à son propre rythme et en toute liberté et mettre l’enfant au cœur de l’apprentissage, c’est un bon début pour appréhender cette approche.
Disons le tout net. Nous sommes pour. Grâce à la pédagogie Montessori, de la maternelle au lycée, les enseignants y cultivent bienveillance, autonomie et créativité.

Eduquer, ce n’est pas dresser

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Un peu d’histoire pour commencer : à l’origine, il y a Maria Montessori.
« Éduquer, ce n’est pas dresser » prône celle qui, en janvier 1907 ouvre la première Maison des enfants (Casa dei Bambini en italien). Sa force ? Mettre à la disposition des écoliers un matériel adapté, mais surtout, les laisser libres de choisir les activités qu’ils souhaitent faire, pendant le temps qu’ils le désirent. Surprise pour Maria Montessori ; dès trois ans, les petits sont capables de faire preuve d’une concentration et d’une autodiscipline inattendues. C’est ainsi que nait la pédagogie Montessori
Aujourd’hui, plus de 20 000 écoles ont ouvert leurs portes.

« L’enfant n’est pas un vase que l’on remplit, mais une source que l’on laisse jaillir. »

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Selon Montessori, l’essentiel est que l’enfant soit concentré. Pas qu’il soit raide ou lent. D’ailleurs, mieux vaut ne pas leur mettre des étiquettes. ; « tu es lent », « tu es rapide », au risque de l’enfermer dans un qualificatif. Et Maria Montessori d’ajouter que le rythme de chacun peut varier en fonction des moments de la journée, de l’activité, des différentes périodes de son développement, et que les apprentissages des enfants se font par à-coups.

Ils se font aussi et surtout par l’expérience. L’enfant doit manipuler, de façon tangible et concrète, avec ses cinq sens. Par exemple, pour expérimenter l’unité, la dizaine, la centaine etc. on utilise des perles. Les enfants peuvent les soupeser, les comparer, et intégrer, par la vue et le toucher, leurs différences ou leurs proportionnalités. Des activités proposées plutôt en individuel, afin que les enfants s’approprient les concepts de façon personnelle.

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La pédagogie Montessori n’est heureusement pas réservée à l’école. Des activités Montessori peuvent aussi être mises en œuvre chez soi.
A la maison, on peut choisir de faire confiance à l’enfant en organisant un cadre au sein duquel, tout en étant accompagné, il est libre de ses mouvements et peut élargir ses limites de façon progressive. Cela peut se traduire par un lit sans barreau ou une patère dans l’entrée à sa hauteur. Evitez le parc autant que faire se peut. Par ailleurs, plutôt que de présenter l’escalier comme un danger ou un interdit, on prend un temps avec l’enfant, même petit, pour lui apprendre à le monter et à le descendre.

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Vous l’aurez compris, la pédagogie Montessori est surtout un état d’esprit, une attitude bienveillante. On ne considère pas l’enfant comme un être que l’on modèle, mais comme une personne à part entière. Alors, convaincus ?

A lire :
http://www.famille-epanouie.fr/methode-montessori/
Apprends moi à faire seul, La pédagogie Montessori expliquée aux parents, Charlotte Poussin (Eyrolles)
60 activités Montessori pour mon bébé, de Marie-Hélène Place et Eve Hermann (Nathan)
100 activités d’éveil Montessori (1 – 4 ans), Eve Hermann

 

Education : la bienveillance s’étend en Isère !

Education positive et bienveillante
Parentalité positive

 

Conférences au sommet, mobilisation sur les réseaux sociaux, multiplication des ateliers…

L’éducation positive

tisse sa toile dans notre département. Et on se réjouit !

En mars dernier, se tenait à Saint-Martin-d’Hères une conférence sur l’éducation positive dans le cadre du cycle de conférences Fil Good qui œuvre pour lier recherche et bien-être dans la société, animée par Ilona Boniwell, Dr en psychologie.

« Le bien-être est la priorité des parents pour leurs enfants mais ils se questionnent beaucoup sur la meilleure manière d’aboutir à ce résultat. A l’école on développe essentiellement des compétences académiques même si l’on vise à plus long terme une bonne insertion sociale et professionnelle et par là même un bien-être durable. »
Un constat édifiant livré par les conférenciers et avec qui nous nous sentons en accord. L’éducation positive concerne les formes d’éducation qui favorisent les compétences utiles aux apprentissages et celles aidant à acquérir un mieux-être, de même que le « vivre ensemble ». Il s’agit d’une approche innovante s’appuyant sur les recherches en psychologie positive et en éducation.
Docteur en psychologie, vice-présidente de l’Association française et francophone de Psychologie Positive (AFfPP), fondatrice de Scholavie, Ilona Boniwell est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la psychologie positive dont le dernier Pour des ados motivés : les apports de la psychologie positive  avec C. Martin-Krumm (Ed. Odile Jacob, 2015).

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Bienveillance éducative en Isère

Et si on éduquait les parents ?

Quelle chance, dans notre département, on se mobilise pour ce mouvement. « Cultiver nos liens » propose aux parents, aux grands-parents, aux personnes en relation avec les enfants et les adolescents, d’approfondir leurs ressources par le biais d’ateliers en groupe, de conférences et de l’accompagnement individuel.
Sur son blog, Fami Lien, membre du Réseau Parentalité positive, se demande sans détour s’il ne faudrait pas éduquer les parents. Carrément ! « Les parents ont-ils besoin de formation, d’accompagnement, de soutien ? N’est-ce pas une fonction somme toute très naturelle d’être parent ? » Et d’ajouter : « La difficulté pour nous parents qui n’avons pas reçu ce type d’éducation, c’est que nous avons en nous des automatismes qui nous empêchent souvent de parvenir à utiliser ces outils, car nos enfants réveillent nos blessures d’enfant. C’est donc une tâche particulièrement ardue et longue que d’apprendre à faire autrement. »
Par ailleurs, les Journées de la Bienveillance éducative en Isère s’attachent à informer le public sur les alternatives éducatives, permettre un débat et une réflexion et offrir du soutien aux parents et aux éducateurs.

Alors, l’éducation bienveillante, vous commencez quand ?

https://www.cultivernosliens.com/
https://fami-lien.fr/blog/
http://education-positive.org/

Merci 2017 !

Voilà bientôt 2 ans que je me suis lancé dans l’aventure de la création d’entreprise.

Portée par un désir d’autonomie, de partage de mes passions telles que le maternage, l’écologie et bien entendu la couture, j’ai plaqué mon boulot où je ne sentais plus de passion pour enfin me dire que j’étais à ma place.

Tous les jours ne sont pas faciles entre la gestion du quotidien et le boulot qui est très chronophage surtout lorsqu’on travaille chez soi. Le travail prend énormément de place car on ne compte pas les heures tellement ce que l’on fait nous passionne.

Les retours et vos commentaires que vous me faites lors de la réception de vos colis me touchent beaucoup et m’encouragent au quotidien…

Extrait des évaluations déposés  sur ma boutique ETSY  :

…… »Un des achats qui m’a le plus servi: pour porter bébé, lui faire un écrin chaleureux et l’endormir. Petit matelas d’appoint aussi sur le canapé ou en sortie. Très beau tissu, belle matière, bien fini et envoyé dans un temps record! Merci beaucoup Mémamnali pour ce beau topponcino qui fera un beau souvenir à ma fille quand elle sera plus grande. »…..

…… »Très satisfaite, superbe qualité et finition, les meilleurs lingettes lavables que j’ai utilisé jusqu’à présent. Envoi soigné. Je recommande. « …..

….. »Ce coussin maternité m’apporte un grand confort, trés agréable. Merci »….

C’est grâce à cela que je ne baisse pas les bras et que chaque jour je me lève avec entrain afin de vous faire partager toute l’attention que vos bébés méritent ainsi que pour vous les mamans.

Le Topponcino est un produit que j’ai découvert et décidé de réaliser en coton bio car je trouve que c’est un merveilleux moyen que d’accueillir un bébé. Un écrin de douceur fait main en France dans mon atelier. Le travail artisanal est pour moi essentiel car lorsque  je couds chaque article que je propose dans ma boutique, c’est un peu de moi que je partage. Je pense à chaque petit être qui va être dorloté et chouchouté avec amour par ses parents et cela me rempli d’émotions.

Etant moi même maman de 5 enfants je sais combien ces moments sont précieux et éphémères… Alors n’hésitons pas à donner le meilleur à nos enfants sans compter la fatigue et les moments difficiles que seul un sourire de nos bout’choux peut effacer.

J’ai fait le choix il a longtemps de vivre de façon le plus écologique possible et c’est naturellement que j’ai décidé de ne proposer que des tissus bio certifiés GOTS pour mes créations.

Le maternage et le respect du développement des enfants sont aussi des sujets qui m’ont toujours beaucoup préocupé. Je me retrouve parfaitement dans les idées de Montesssori.

J’ai eu cette année la joie de voir mon produit phare le Topponcino  mis à l’honneur dans l’émission les Maternelles sur France 5:

Vous pouvez revoir ici la  vidéo du matelas Montessori Topponcino en coton bio Topponcino Mémamnali

Pour 2018 je souhaite continuer à rester proche de vous et de vos attentes en continuant à créer des belles choses bio pour tous les membres de la famille : maternage, bien être des mamans et zéro déchet sont et restent mes motivations premières quand je crée.

J’ai encore plein d’ idées en tête et de l’énergie pour continuer à vous faire plaisir. N’hésitez pas à suivre ma page Facebook afin de suivre régulièrement les nouveautés de la boutique.

Que cette nouvelle année soit prospère en sagesse, amour et partage. A bientôt…

Ma tribu

Famille je vous aime …

J’ai fait plein d’enfants comme on me  dit souvent . Je dirais plutôt que c’est mes enfants qui m’ont choisi pour faire de moi leur mère.

5 en tout et si c’était à refaire je ne changerais rien. Même si c’est un boulot à plein temps  d’être maman d’une telle fratrie. On est pas seulement maman mais aussi chef d’entreprise . Car gérer autant d’enfants c’est comme gérer du personnel. Seule différence on est joignable h 24 et on ne connait pas les jours fériés et encore moins les vacances !

La maison et la vie de chacun doivent  être  appréhendées avec souplesse. Il faut savoir s’adapter aux aléas de la vie et aux caractères de chacun qui sont bien évidemment tous différents . On ne peut avoir l’ambition de gérer cette tribu comme il s’agissait d’une petite armée . Chaque personne (Et oui les enfants sont des personnes) a sa sensibilité, son caractère et ses besoins propres.
Les relations entre chaque membre de la fratrie sont importantes. Tous les enfants participent  au quotidien de la famille dont font partie les tâches menagères en fonction de leur capacité. Les rapports entre les aînés et les plus petits sont aussi très enrichissants, un échange mutuel  très gratifiant pour les  grands et stimulant pour les petits.

Les petits sont aidés par les grands tout en respectant leur apprentissage de l’autonomie.

Une entraide se met en place naturellement. Chaque enfant est attentif aux besoins des autres membres de la famille. 

Cest ainsi que les petits derniers deviennent vite débrouillards.

Et l’amour dans tout ça ?

Il y en a beaucoup ! Du condensé d’amour ! Car il est vrai que dans ce tohu-bohu perpétuel il n’est pas facile pour chacun de s’exprimer.  

Ce qu’il manque dans cette famille c’est le … temps .

Alors on va vite a l’essentiel. Parfois avec maladresse et brutalité mais toujours avec affection.  Il règne beaucoup d’ amour dans ce foyer, de partage et ils savent tous qu’ils pourront compter sur chacun des membres de la tribu quand l’un d’eux trébuche ou va mal.

Ils me motivent et sont la raison pour laquelle chaque matin je me lève avec le sourire.

Ces enfants que j’ai mis au monde m’apportent beaucoup au quotidien. Je ne leur ai pas faciliter les choses en leur donnant plein de frères et soeurs mais je pense malgré tout qu’ils savent qu’ils ont tous une part importante dans mon coeur et dans ma vie et même dans mon entreprise Mémamnali  dont le nom vient de chaque prénom de mes enfants.

Jolie maman

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La maternité n’est pas une étape facile de la vie . On peut même dire que c’est état qui nous tombe dessus à la naissance de notre enfant et qui ne nous lâche plus jamais.

On a plus le choix, cet enfant qui est là , cet inconnu est lié à nous. Il a besoin de nous pour survivre et on est face à plein de questionnement.

Avec des hauts et des bas ce n’est pas tous les jours facile. On ne naît pas mère, on le devient petit à petit , on grandit avec notre enfant.

Et parfois il y  a des instants de grâce où tout coule de source. On suit son instinct et on approche de la plénitude.

A l’approche de la Fête des Mères j’ai envie de vous proposer de quoi dorloter et bichonner votre maman. Cela peut être aussi une occasion de gâter une jeune maman. On pense souvent aux bébés mais rarement aux mamans qui sont quand même la base de la famille !

Des bouillottes sèche en lin bio pour apaiser les maux de sa maman !

 

Des lingettes lavables toutes douces en coton bio pour les soins du visage ou pour se démaquiller :

 

 

Des paniers et des sacs pour tout ranger et mieux s’organiser :

 

 

 

Bébé mange seul mais dans du bio !

La seule nourriture d’un bébé dès sa naissance est le lait de sa mère. Je ne vais pas relancer ni participer au  débat pro allaitement ou biberon. Pour ma part c’est allaitement et pis c’est tout.

Parmi les nombreux bienfaits d’allaiter son enfant, un des avantages c’est que le bébé lorsqu’il tète participe aussi au repas de sa mère. En effet il goûte les saveurs  qui passent dans le lait maternel. In utéro le bébé a déjà le même bénéfice quand il  avale le liquide amniotique dans lequel il baigne.

De ce fait, bébé est déjà sensibilisé au goût de tout ce que l’on mange.

Un bébé a aussi un très bon sens de l’odorat, regardez comment un nouveau né va chercher le sein de sa mère alors qu’il a à peine les yeux ouverts.

La nature est formidablement faite ! Le goût est ainsi étroitement lié à l’odorat, essayez de manger le nez bouché vous verrez que les aliments n’ont pas la même saveur voire n’en ont pas. (expérience courante quand on est enrhumé ^^ )

Si vous êtes comme moi , une maman maternante  vous avez souvent votre bébé à bras ou en écharpe et ainsi il participe tous les jours à la vie de la maison. On cuisine avec lui et bien sûr on mange ! Combien de fois me suis je retrouvé en train de manger avec mon bibou au sein !!!  Il était ainsi depuis tout petit habitué aux repas et à leurs odeurs ,quand c’est pas des aliments qui lui tombent dessus pendant le repas de maman.

Non non je ne suis pas une mère indigne qui fait tomber son repas sur la tête de son bébé quand il tète  ^^

Quand bébé est enfin prêt à passer à la nourriture solide on s’en rend vite compte car il le fait savoir rapidement ^^

Ici loulou qui attaque l’assiette de sa mère (ma fille).

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Pour mes premiers enfants ( n’oubliez pas que j’en ai 5 hein ?! ) j’ai introduit les aliments solides dès 4 mois en version purée comme le préconisait mon pédiatre de l’époque il y a 20 ans quand même … Et au fur et à mesure de sa vie de maman et des enfants qui arrivent dans sa vie, on change, on se documente et j’ai fini par laisser mes enfants mettre les mains dans leur assiette. Pourquoi les en empêcher d’ailleurs car moi aussi j’adore manger avec mes doigts. Je les ai donc laissé manger des aliments en morceaux dès tout petit et je ne les ai pas sollicité. J’ai juste observé leurs réactions quand on était à table pour voir s’ils étaient prêts tout simplement.

Je pratiquais donc sans le savoir que ce qui s’appelle aujourd’hui la DME : diversification alimentaire menée par l’enfant ou Baby led weaning en anglais. C’est une pratique très connue au Canada et aux Etats Unis où ils ont toujours un temps d’avance sur nous. Pas sur tous les sujets  bien entendu  ; )

J’en parlais déjà dans un article précédent de mon blog il y a quelques temps ici et vous trouverez sur ce site  de nombreuses informations sur la DME.

Autre avantage de l’allaitement c’est le développement de la mastication des enfants. Le mouvement de succion du bébé allaité renforce les muscles de la mâchoire et lui permet ainsi d’acquérir une bonne mastication.

Les bébés sont donc capables de mâcher même sans dents. Ils savent aussi cracher si un aliment ne leur plait pas ou ne passe pas. Pas de peur à avoir. Il faut faire confiance à son enfant il est capable d’accomplir beaucoup plus de choses qu’on ne le croît !

Le principe est de proposer des aliments et votre bébé choisit ce qu’il veut manger.

Rapidement bébé est capable de prendre de petits bouts d’aliments , vive le développement psycho-moteur cher à Mme Montessori dont la devise était « apprend moi à faire seul ».

On peut donc proposer à bébé de manger la même chose que nous, avec des quantités et morceaux adaptés :

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Et voilà une poupée qui s’éclate à manger le même repas que sa maman  avec une version du bavoir Mémamnali

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Quand on aime son repas tous les moyens sont bons pour l’apprécier  ^^

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L’inconvénient avec un bébé autonome qui mange seul c’est qu’il en fait profiter tout le monde !

Ses vêtements, mains et cheveux et la table évidemment, souvent le sol aussi.

Tous ces  endroits peuvent se nettoyer facilement , surtout si on a un chien  😉 pour le sol.

En ce qui concerne les vêtements c’est un peu embêtant de devoir changer à chaque repas son bébé de la tête au pied.

C’est pourquoi j’ai conçu un bavoir plus long et plus large que ceux que l’on peut trouver dans les commerces aujourd’hui.  Cousu en coton bio doublé à chaque fois avec un coton bio nid d’abeille qui est un tissu à la fois léger et absorbant. Votre bébé sera protégé, enfin surtout ses habits. Le modèle du bavoir est pratique et passe facilement en machine  à 40 °  S’attache dans le dos avec une pression, bébé ne peut pas le retirer seul ! Il dure longtemps car il est prévu pour une taille de 6 à 12 mois. D’autres tailles sont disponibles en version 12-18 mois, 18-24 mois et plus. Ce bavoir tablier peut être aussi utile dans le cadre d’atelier peinture ou coloriage ou pâte à modeler.

 

Bavoir en coton bio avec des coloris très tendance version sans manche taille 6-12 mois

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Bavoir sans manches taille 12-18mois

dsc_0224 Ici mon bibou avec la version 18-24 mois . On peut voir que le bavoir couvre jusqu’aux genoux !

 

Celui ci à une particularité, les manches sont amovibles. Elles protègent les manches en hiver et se retire facilement avec un velcro en été quand il fait chaud et que bébé a les bras nus.

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Où comment foirer son allaitement …

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Il est déjà pas facile pour les mamans de nos jours de faire leur choix quant au choix crucial du mode alimentaire de leur bébé. Chacune et chacun( car oui c’est un choix qui se fait à deux) a le droit de choisir s’ils veulent que leur bébé soit allaité ou non. Pour cela il existe de nombreuses sources d’informations:

-médecin (sachant que leur cours sur l’allaitement est quasi inexistant)

-famille (qui a toujours la science infuse)

-entourage (pleins de préjugés et de « bon conseils »)

-livres (faire le tri entre les bons et les mauvais…)

-association telle La Leche League, La voix Lactée

Le problème ici c’est qu’un grand magazine comme Parents se permet d’écrire des articles de ce genre tranquillement pendant les vacances. Histoire de combler un page vide je suppose ?? Peut être un stagiaire ou un journaliste au bord du burn out qui a pris ses sources dans un vieux bouquin sur l’allaitement ?

Je suis en colère et dégoutée qu’un tel ramassis de stupidité soit diffusé à grande échelle.

L’article est train d’ailleurs de faire un véritable tollé sur Facebook et sur les groupes de mamans allaitantes.

Je vous invite  donc si vous aussi vous êtes choqués, à le faire savoir au magazine Parents par tous les moyens !!!

Qu’un article d’excuses et rectificatif soit plublié !

A bon entendeur ….